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Un peu des deux

by Sebka

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1.
Je danse 03:40
JE DANSE J’suis plus très jeun', mais pas encor’ trop moche, J'ai roulé mon quota de galoches ; J'ai tous les beaux mecs dans ma poche, Ils n'ont que moi dans leur caboche... … Des fois i' m'donn'nt envie, des fois j'leur donne envie, Ils poivr’nt un peu ma vie, mais souvent ils m'ennuient… Alors je dans’, je dans’, je danse! Je m'offre un peu de romance... Et je dans’, je dans’, je danse ! J’oublie tout, je m’en balance... Les jours trop courts, où j'ai du temps pour moi, Je lis un livr', j'écris un film ; Les compliments pleuv'nt sur mon minois, Mais personn' m'aide à fair' mon film... ...Alors quand j'en ai marre, j'fais la tournée des bars Et bien après minuit, j'finis en boît' de nuit... Et je dans’, je dans’, je danse! Je m'offre un peu de romance... Et je dans’, je dans’, je danse ! J’oublie tout, je m’en balance... Si on savait qui je suis vraiment, On n'm'aim'rait sûr'ment pas autant ; Si j'ai du noir autour de mes yeux, J'en ai bien plus sous mes cheveux... ...Alors quand j'en ai marre, j'fais la tournée des bars Et bien après minuit, j'finis en boît' de nuit... Et je dans’, je dans’, je danse! Je m'offre un peu de romance... Et je dans’, je dans’, je danse ! J’oublie tout, je m’en balance... Alors je dans’, je dans’, je danse! Je m'offre un peu de romance... Et je dans’, je dans’, je danse ! J’oublie tout, je m’en balance… Je danse ! Je danse ! Je danse ! Je danse ! Je danse !
2.
UN PEU DES DEUX Si parfois j'ai le sexe faible, C'est que le fort m'a contrefait. Ces airs de femm’ dont on m'affuble Font de moi un homme à l'affût De la moindre des jolies fables. Et pour peu qu'ell' me donn' le fa, Avec ell’, je deviens affable Et je dépens’ mes C.F.A.... Je suis un peu des deux, Un peu coupé en deux, J'ai beau chercher l'enjeu, Je n'y vois que du feu... Je suis un peu des deux, Un peu coupé en deux, 1 + 1 ça fait deux, Moi + moi, ça fait quoi ?... Qu'on dis' de moi que je suis double, Ça ne me rend ni froid, ni fourbe ; Ce n'est pas un déséquilibre D'être bonn' femme et bon mari ! Je goût’ divers sirops d'érable  Savoir lequel le mieux m'ira, Je fais amende équitable Entre Tito et Pépita. Je suis un peu des deux, Un peu coupé en deux, J'ai beau chercher l'enjeu, Je n'y vois que du feu... Je suis un peu des deux, Un peu coupé en deux, 1 + 1 ça fait deux, Moi + moi, ça fait quoi ?... Je me fous bien des insensibles, Des gens qui me trait'nt d'indécis. Un jour, j'irai conter aux cieux Mes déess's grecqu's, mes demi-dieux, En amour, à ce qu'il me semble, On comprend peu ce qu'on ressent... J'ai passé tout' ma vie ensemble À me chercher un genr' décent. Je suis un peu des deux, Un peu coupé en deux, J'ai beau chercher l'enjeu, Je n'y vois que du feu... Je suis un peu des deux, Un peu coupé en deux, 1 + 1 ça fait deux, Moi + moi, ça fait moi.
3.
LE TRIANGLE DU DÉSIR C'est un' grossière erreur De croir' que l'amour commence à deux… Il commence à plusieurs, Aussi sûr que deux et deux font deux… Les affluents du fleuve Amour Irrigu'nt nos cœurs d'éclats de rire, Et puis la vie poursuit son cours, Mais si on remonte aux souvenirs… Sous les tilleuls du premier soir, Il faisait doux dans la nuit noire, Et tu ne plaisais pas qu'à moi, Et je ne plaisais pas qu'à toi, C'est le triangle du désir, Le triangle du désir… Je sais que les chanteurs Aim'nt dir' qu'en amour, on n'est que deux… C'est pas vrai, c'est un leurre, Aussi sûr que deux et deux font deux… On se noie dans le fleuve Amour Quand on donn' son cœur, son sourire À la mêm' personn' pour toujours, Et on s'en sort grâce aux souv'nirs… Sous les tilleuls du premier soir, Il faisait doux dans la nuit noire, Et tu ne plaisais pas qu'à moi, Et je ne plaisais pas qu'à toi, C'est le triangle du désir, Le triangle du désir… On aim'rait croire à la romance, Et ne plus jamais divorcer, On aim'rait bien voir l'évidence Dans un seul regard, un seul nez… Que fair' si, par malheur, Plus personn' ne pos' les yeux sur moi ?… Tu diras qu'il est l'heure, Que nous deux, on n'est plus rien sans trois… Alors, on ira voir l'Amour, Là-bas, au bout du bout du monde, Et tu seras bell' comm' le jour, Et moi comm' dans tes souvenirs... Sous les tilleuls du premier soir, Il faisait doux dans la nuit noire, Et tu ne plaisais pas qu'à moi, Et je ne plaisais pas qu'à toi, C'est le triangle du désir, Le triangle du désir… C'est le triangle du désir, Le triangle du désir... C'est le triangle du désir, Le triangle du désir.
4.
CHANSON AMÉRICAINE J’avais envie d’écrire une chanson américaine Pour un’ fill’ rencontrée au bout d’un’ pelote de laine ; Ell’ tricotait un pull pour son julot nommé William ; Je m’appelais Sebka et j’habitais av’nue Wagram. Je lui ai consacré trois ou quatre de mes poèmes, Mais pour déménager, je lui ai déclaré ma flemme… Et ell’ m’a invité à passer deux ou trois semaines Chez elle, en Amérique, elle habitait dans le Maine. Dans sa maisonnée blanche, ell’ m’a présenté son julot ; C’était déjà l’hiver, j’avoue qu’il ne faisait pas chaud… Mais on s’est réchauffé en jouant trompette et banjo, En faisant feu de joie de quelques branches de bouleau… Que l'Amérique est belle quand on y fait l'amour à trois… Son corps américain en valait mille parisiens ! William était jaloux de temps en temps, c'est tout ; Moi, pour le consoler, je lui faisais des bisous… Ils avaient une Ford aussi vieill' que mon grand father, De m'en confier les clés, ils m'ont fait la gentill' faveur ; Heureux qui, comme moi, parmi les prés et les fermiers A vu de l'Amériqu’ sa nature au mois de janvier. Arrivé côte ouest, j'ai enl'vé la clé du contact, J'ai ach'té des cookies chez un marchand de café grec, Dans la ville où les ang's confond'nt les arbr’s avec des lettres, Dans un motel miteux, à la lun', j'ai fait la causette. Puis j'ai repris ma route en sens inverse, il était temps : La terr’ commençait à donner des sign's de tremblement… Un matin de blizzard, je suis revenu dans le Maine Chez mes deux tourtereaux qui se mariaient dans un' semaine… Voilà, c'en est fini de ma chanson américaine Écrit' pour une fille au bout d'un' pelote de laine, Elle a fini son pull, elle a épousé son William, Je suis rentré chez moi, mais je m'ennuie Av'nue Wagram.
5.
JEUNE ET BELLE L'amour sans contraintes, Sans tomber enceinte De n'import' quel velu, Ça m'a tout d'suit' plu ! Capote et pilule, Je vis dans ma bulle Et je dis à Dudule : « Z-y-va, charg' la mule ! » Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel... Les jours de disette, Je n'en fais qu'à ma tête, Je m'habille en pépette Et je vais fair' la fête ! S'il me tomb’ dessus Un gros dos poilu, Je ferme grand les yeux, J'le renvoie à ses vieux ! Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Que j'm'habille à la mode, Que j'm'habille en garçonne, Tous les garçons du coin, Ben ça les désarçonne… Il leur faut pas grand chose Pour être impressionnés, J'm'amuse à les mener Par le bout du nez… Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Si le mond' s'écroule, Je n'perds pas la boule : Je protège ma peau Avec des crèm's bio ! S'il ne reste plus qu'un Mâl' chez les humains, Je lui montre mes seins Et j'entonn' ce refrain : Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel… Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel... Je suis jeune et belle Et je fais c'que j'veux, J'fais plus la vaisselle, Je la laisse à Marcel... Je suis jeune et belle, Je m'parfume à l'Angel, Ça les fait tous craquer Et je m'en lav' les pieds !
6.
Sans toi 03:16
SANS TOI Tu sais, ma puc', que j'ai grossi Depuis le jour où nos egos Se sont séparés à Passy, J'en ai écrasés, des mégots ... Et je me consume en dépit Les narin's blotties dans ton châle; Je n'ai pas froid mais c'est bien pis Qu'attraper la mort au final... Sais-tu, mon ang', que je te vole En sommeil des baisers en masse? Et si tes cheveux au vent volent; À mes yeux, c'est du temps qui passe… Si de guerr’ lass’, je me console, Si je tombe aux bras d’un’ rivale, Je n’deviendrai pas un autre homme, Au fond, tu s’ras toujours ma femme. .. Tu sais, mon vent, c'est si troublant, Ce vieux souvenir de vert Val d'Isère où l'hiver est si blanc Qu'au printemps des vœux s'y dévoilent… Mon cœur, est-ce l'heur' du bilan? Après tant d'années de cavale, De nuits de veille en jours de l'an, Ma vie est devenue banale… Sais-tu, mon ang', que je te vole En sommeil des baisers en masse? Et si tes cheveux au vent volent; À mes yeux, c'est du temps qui passe… Si de guerr’ lass’, je me console, Si je tombe aux bras d’un’ rivale, Je n’deviendrai pas un autre homme, Au fond, tu s’ras toujours ma femme. 
7.
Mon psy 02:59
MON PSY Comm' je suis très malad’, bien qu'en très bonn' santé, Pour me guérir, voilà ce qu'à vrai dir' je fais : Je prends ma voitur', l'autobus, j'y vais à pied, A cheval, en calèch', toujours le mêm' trajet... Puis je compos' un cod' dont j'me souviens jamais Pour finir dans un' salle où il vient me chercher... Mon psy Qui va tout écouter... Mon psy, Son fauteuil rembourré... Mon psy Que je paye pour m'aider. Un' fois bien allongée, mon âm' fait ce qu'ell' peut Et quand je me tais règne un calme merveilleux... Que j'arriv' bien à l'heure, en avance ou en retard, Mon psy, c'est quelqu'un de pas vraiment bavard... Je lui cont’ mes problèm's d'être humain civilisé, Que je suis peut-être homo, qu'il faut pas que je boiv' trop... Mon psy, Il comprend ça très bien! Mon psy, Il est là pour mon bien, Mon psy, Il est à moi, j'y tiens! Chacun sa vie, chacun son psy, Chacun ses soucis, tout petits soucis, Chacun son chien, chacun son chat, Quand j'étais p'tit, il m'a griffé le bras. Pour aller en voir un, il faut avoir les moyens; Y'en a qui les ont pas pis qu'en auraient besoin... À partir de 50 euros, c'est bon marché, Si t'en trouv's un à 20, c'est qu'il va t'arnaquer... Quell' force obscur' me pousse à lâcher tant d'argent? Je n'sais pas trop, mais bon, ça doit être important... Mon psy, Il dit : « mmh... », il dit : « oui... » Mon psy, Je n'couch' pas avec lui... Mon psy, Il en voit un aussi... Chacun sa vie, chacun son psy, Chacun ses soucis, tout petits soucis, Chacun son chien, chacun son chat, Quand j'étais p'tit, il m'a griffé le bras. À la fin d'la séance, il dit : « À la prochaine ! Ah non, la semain' prochain', je prolong' mon week-end... Revenez dans un mois, prenez le temps qu'il faut Pour entendr' ce qui cloche au fond de votr' cerveau... Et vous, vous partez où? Ah bon? Vous n'partez pas? Ça tomb' bien, on en parlera la prochain' fois... » Mon psy, C'est l'aventur’ moderne! Mon psy, Il rend la vie moins terne! Mon psy, Guérison à long terme... Chacun sa vie, chacun son psy, Chacun ses soucis, tout petits soucis, Chacun son chien, chacun son chat, Quand j'étais p'tit, il m'a griffé le bras. Quand j'étais p'tit, il m'a griffé le bras. Quand j'étais p'tit, il m'a griffé le bras. Quand j'étais p'tit, il m'a griffé le bras. Quand j'étais p'tit, il m'a griffé le bras.
8.
LA LANGOUSTINE ET L'HUMANITÉ Ça fait six millions d'années Qu'on est coloc' du mêm' bocal, D'abord, c'était l'égalité, La terr' pour tous, c'était moral ; J'ai été chouett', j't'ai laissé faire, Mais t'as bouffé tout's mes copines, Tu t'crois malign', de quoi t'as l'air ? J'vais t'dir' c'qu'en pense un' langoustine : « Allez, allez, l'Humanité ! Fais ta valise, il est grand temps De laisser l'eau aux crustacés Et la savane aux éléphants... » Depuis le temps qu'tu squatt's la place, Qu'tu dévor's tout, qu'tu sers à rien, Que t'es devenue un' menace Pour toi, pour nous et les Martiens ; On t'enverra des cart's postales Quand tu s'ras morte et enterrée ; Dans l'eau bénit' des cathédrales, On priera pour toi sans pleurer… « Allez, allez, l'Humanité ! Fais ta valise, il est grand temps De laisser l'eau aux crustacés Et la savane aux éléphants... » Avant toi, les grands dinosaures, Après toi, on n'sait pas encore… Avec un peu d'chance, ce s'ra mieux, Mais il importe peu aux cieux De savoir qui vit en dessous ; Eux, ils pleuv'nt ou bien ils font beau ; Qu'on soit vivant ou dans les choux, Eux, ça leur fait ni froid, ni chaud… « Allez, allez, l'Humanité ! Fais ta valise, il est grand temps De laisser l'eau aux crustacés Et la savane aux éléphants... » « Allez, allez, l'Humanité ! Fais ta valise, il est grand temps De laisser l'eau aux crustacés Et la savane aux éléphants... » « Allez, allez, l'Humanité ! Fais ta valise, il est grand temps De laisser l'eau aux crustacés Et la savane aux éléphants... » « Allez, allez, l'Humanité ! Fais ta valise, il est grand temps De laisser l'eau aux crustacés Et la savane aux éléphants... »
9.
À L'HÔTEL DE LA BAIE Je descends l'escalier, je marche dans le sable ; À l'Hôtel de la Baie, pas grand chos' de notable… La mer et des palmiers pour se faire à l'idée Que la terre a du cran malgré nos facéties… Devant mes yeux ouverts, L'océan est le même Que l'océan d'hier, Mais je m'y rends quand même… J'ôte mes vêtements, j'enfile mon maillot ; D'abord quelques orteils, puis tout mon corps dans l'eau… Une brasse, un poirier pour oublier pendant Que je joue à l'enfant que m'est compté le temps… Derrièr' nos yeux fermés, On est bien tous les mêmes, On ne trouv' pas la clef Qui règle le problème… Je sors de l'eau, le vent me donn' la chair de poule ; Je m'entour' d'un' serviett', je contemple la foule… Je m'allong' sur le sabl', je me laisse bronzer ; Quand j'ai chaud, je retourne à l'Hôtel de la Baie… Derrièr' mes petits airs, J'ai le blues, j'ai la flemme D'étudier la misère Dans les journaux qui traînent… À l'Hôtel de la Baie, je m'assois dans le bar Et j'admire le soir, le soleil qui se barre… Le dîner avalé, je m'en vais me coucher Après cette journée où rien n'a avancé… Derrièr' mes yeux fermés, Je rêve de demain Où je vais répéter Les mêmes gest's en vain… Je descends l'escalier, je marche dans le sable ; À l'Hôtel de la Baie, pas grand chos' de notable… Je descends l'escalier, je marche dans le sable ; À l'Hôtel de la Baie, pas grand chos' de notable… À l'Hôtel de la Baie, À l'Hôtel de la Baie, À l'Hôtel de la Baie.
10.
L'Irlandaise 03:40
L'IRLANDAISE Je croyais que j'étais laid, Ell' m'a fait me sentir beau Le temps d'un’ soirée, Le temps d'un baiser… Ell' montrait tous les sign's extérieurs de tendresse, Je montrais tous les sign's extérieurs de faiblesse, Elle était Irlandaise, Ell' m'a mis très à l'aise, J'étais célibataire, Elle était tributaire D'un mari mal choisi, D'un mari mal choisi… Je croyais qu'ell' regardait Un homme assis derrièr' moi, Mais c'était moi, en somme, Qu'ell' trouvait très bel homme… Ell' montrait tous les sign's extérieurs de maîtresse, J'ai émis deux second's des signaux de détresse… On buvait et on trinquait En chantant en irlandais, J'étais célibataire, Elle était tributaire D'un mari mal choisi, D'un mari mal choisi… Je croyais que c'était fait, Qu'enfin je l'avais trouvée, La femm' de ma vie, La femm' qui vous dit : « Viens, montrons tous nos sign's extérieurs de bien-être, Viens, marchons côte à côt', nez à nez, tête à tête... » Son mari irlandais, Pourra-t-ell' l'oublier Pour me fair' sur la terre Une place de choix, Une place de choix, Une place de roi ?…

about

"Un peu des deux" est mon premier album. Il est en vente digitale et physique ici-même, sur Bandcamp.

Claude Lemesle, président d'honneur de la Sacem, auteur de plus de 3000 chansons (dont les tubes "L'été indien" ou "A toi") en dit ceci :

" Le bel album de Sebka montre à quel point tradition et modernité peuvent se rejoindre dans le domaine artistique. D'un classicisme classieux, il est aussi très contemporain sur le plan des thèmes et de l'environnement musical. Sebka mélange subtilement dans son shaker créatif humour et tendresse.. Bref, "Un peu des deux" me donne envie d'écouter beaucoup du tout."

Je vis à Paris, en France.

credits

released June 4, 2021

Auteur-compositeur-interprète : Sebka

Arrangeur : Chadi Chouman

Co-compositeur de "Un peu des deux" et "Le triangle du désir" : Chadi Chouman

Co-autrice de "La langoustine et l'humanité" : Sabine Lehoux

Featuring chant sur "Le triangle du désir" : Abyr


Musiciens :

Chadi Chouman : guitares, clavier, ukulélé, chœurs, trompette, glockenspiel, basse, tuba, mandoline, banjo, percussions

Salvador Douezy : batterie, percussions

François Fuchs : contrebasse, basse

Jennifer Hutt : violon

Anaïs Bousquet : chœurs

Tchoubine Colin : trombone

Julien Large : trompette

Brice Mirrione : clavier

Alexandre Michel : fifre

Damien Prévot : clarinette

Camille Hakoune, Abyr, Sebka : chœurs


Mixage : Thomas "Bubar" Musso

Mastering : Nicolas David

Réalisation : Chadi Chouman


Enregistré entre décembre 2019 et février 2021 un peu partout en France


Photos : gwel.fr

Réalisation graphique : philippekrouk.fr

Produit par Sebka et les 188 contributrices et contributeurs du financement participatif

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about

Sebka Paris, France

Sebka, ce sont des sujets contemporains traités avec poésie, sourire et élégance.

Chanteur, poète et compositeur, Sebka joue avec les mots et les notes pour conter la complexité du monde et du cœur, ce qui nous rapproche comme ce qui nous isole.

Il pose en fil conducteur de ses concerts cette interrogation partagée par chacun d’entre nous : « qui suis-je ? ».
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